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L’économie de la connaissance, un nouveau paradigme


L’économie de la connaissance, un nouveau paradigme
L’économie de la connaissance, un nouveau paradigme

Histoire de l’économie de la connaissance

L’économie de la connaissance est un concept établi dans les années 60 mais qui a commencé à vraiment se développer à partir des années 90 avec l’avènement de l’informatique et de la numérisation des échanges. L’économie de la connaissance repose sur 3 piliers :

  • La recherche-développement et l’innovation
  • L’éducation ;
  • Les technologies de l’information et de la communication.

Un monde dans lequel 1+1 = 3

L’économie de la connaissance prend donc place dans un monde immatériel qui s’affranchit donc des limites physiques liées au monde matériel. Si dans l’économie physique vous échangez un bien que vous possédez, alors il disparaît et ne vous appartient plus. Dans l’économie de la connaissance, si vous possédez une connaissance vous pouvez l’échanger avec une tierce personne sans pour autant la perdre, et même en créer de nouvelles, résultants de l’association de vos deux connaissances. Ce qui importe n’est pas tant la propriété que l’usage qu’on fait de ces connaissances ; on passe donc d’une économie de propriété à une économie d’usage.

De nouvelles chaînes de valeurs

OKP4 a décidé de se saisir de ce nouveau paradigme de l’économie de la connaissance et de la mettre en application. Le secteur agricole est le premier dans lequel a décidé d’investir OKP4. La mise en pratique de cette économie nouvelle autorise la création de nouvelles chaines de valeurs et ainsi de nouvelles sources de revenus pour les acteurs de l’agriculture, les agriculteurs en première ligne.
Ainsi en partageant leur données pour créer des connaissances, valorisées auprès des clients sous forme de traçabilité avancée, de cahier des charges, etc. les agriculteurs pourraient récupérer une partie de cette valeur.

OKP4, une plateforme de valorisation de la connaissance

OKP4 développe une plateforme de valorisation de la connaissance permettant une application concrète de l’économie de la connaissance. Ainsi elle met en place les conditions favorables au partage de données par les agriculteurs en mettant en lumière deux points essentiels :
- Une garantie du respect des consentements associés aux données des agriculteurs
- La rétribution des agriculteurs en fonction de leur contribution à la création de connaissances.
 
La plateforme permet ainsi à des acteurs majeurs du monde agricole (coopératives, négoces, centre techniques, etc.) de mettre en place des écosystèmes basés sur l’économie de la connaissances, où la donnée prend une réelle valeur grâce à sa valorisation en connaissance.